Déclaration

14 Février 2011

ÉGLISE DE SCIENTOLOGIE INTERNATIONALE

DÉCLARATION

Objet : Article du New Yorker

L’article du New Yorker ne fait que ressasser de vieilles allégations réfutées depuis longtemps. Il est décevant qu’un magazine réputé comme le New Yorker ait choisi de republier ces fausses allégations sensationnalistes d’anciens membres déçus.

Quant à l’affirmation selon laquelle l’Eglise ferait l’objet d’une enquête fédérale, l’Eglise n’a jamais été informée d’une quelconque enquête par une quelconque agence gouvernementale. Nous ne sommes pas au courant et nous ne croyons pas qu’il y ait une enquête en cours, et il n’existe aucune confirmation officielle d’une telle enquête.

De plus, ces allégations ont déjà été formulées lors d’une plainte déposée par les mêmes sources discréditées. Elles ont été rejetées de façon retentissante en août 2010 par un juge du tribunal fédéral de Los Angeles. Le New Yorker le savait parfaitement avant la publication de l’article, mais a, de façon irresponsable, décidé d’ignorer ces faits et d’utiliser des sources anonymes pour prétendre qu’il y avait une « investigation », et ce afin de fabriquer un gros titre et de tenter de donner vie à un article éculé qui ne contient rien en-dehors d’allégations réchauffées et sans fondement.

Il est regrettable, et nous voyons là une preuve de discrimination religieuse, que le New Yorker ait choisi de présenter la Scientologie à ses lecteurs à travers les yeux d’un apostat (alors que les sociologues des religions soulignent unanimement que de tels témoignages sont peu fiables), au lieu de répondre à l’invitation de l’Eglise à venir se faire une idée de ses pratiques et de ses actions humanitaires en direct.

Le New Yorker ne mentionne pas les dizaines de nouvelles églises de Scientologie – dont la plus récente a ouvert ses portes le 29 janvier dernier à Melbourne, en Australie – qui apportent les outils de la Scientologie dans le monde entier pour sauver des vies. Ni sa campagne internationale d’éducation aux droits de l’homme de la Scientologie, qui a informé des millions de personnes sur les droits humains. Ni sa croisade « La vérité sur la drogue », qui apprend à des millions de gens comment vivre une vie sans drogue. Ni son programme mondial des ministres volontaires, dont le travail à Haïti, par exemple, a été salué par la communauté internationale.

L’article contient cependant une parcelle de vérité : il reconnaît l’effet positif qu’a eu la Scientologie sur la vie de ses adhérents et sur le monde en général. C’est le message de la Scientologie.

Quiconque veut connaître la véritable histoire de la Scientologie devrait la découvrir par lui-même en venant dans une église de Scientologie, dont les portes sont toujours ouvertes, ou en visitant le site www.Scientology.org.

Tommy Davis

Eglise de Scientologie Internationale