La véritable histoire de la Scientologie (partie 3)

La véritable histoire de la Scientologie (partie 3)

À mesure que la vérité avance, les mensonges meurent

 

[…] Le marchand de chaos laisse complètement de côté le n°3. C’est un terrain glissant pour lui : des gens constatent qu’elle marche. La presse ne se risquerait jamais à mentionner l’efficacité de la Scientologie, quoique dans son esprit, il n’y ait pas le moindre doute qu’elle marche effectivement. C’est pour cela qu’elle est dangereuse. Elle apaise l’environnement. Donc tout moment passé à essayer de convaincre la presse que la Scientologie marche est du temps perdu à angoisser un reporter.

Pour ce qui est du n°4, des gens la transmettent à d’autres, la presse se sent trahie. « Personne ne devrait croire quelque chose qui n’est pas dans les journaux. Comment ose-t-on laisser faire le bouche à oreille ! » Alors, pour essayer d’empêcher les gens d’écouter, le marchand de chaos doit employer des mots comme « secte ». C’est un « groupe très fermé », alors que la Scientologie est le groupe le plus ouvert à tous sur Terre. Et il faut qu’ils attaquent les organisations et leurs membres pour essayer d’écarter les gens de la Scientologie.

Enfin, en ce qui concerne le n° 5 : elle croît ; alors là, il y a vraiment objection.

À mesure que la vérité avance, les mensonges meurent. Le massacre des mensonges est un acte qui enlève le pain de la bouche du marchand de chaos. Il pense que s’il ne peut plus mentir tout son soûl et se lamenter que tout va très très mal, il va mourir de faim.

Selon le marchand de chaos, ce monde ne doit surtout pas devenir un monde meilleur. Si les gens étaient moins tourmentés, moins abattus par leur environnement, il n’y aurait plus de nouveaux crédits pour la police et pour les armées et pour les grosses fusées, et il ne resterait plus un centime pour une presse criarde et tapageuse.

Aussi longtemps que nous vivrons dans un monde où plus il y a de scandales plus le politicien monte en grade, plus il y a de crimes et plus la police est payée, et plus les gens sont malades, plus les toubibs engraissent, il y aura des marchands de chaos. Ils sont payés pour ça.

Et le danger qui les menace, c’est la simple histoire de la Scientologie. Car c’est la véritable histoire. Et dans son sillage naît un environnement plus serein dans lequel un homme peut vivre et se sentir mieux. Si vous ne le croyez pas, arrêtez de lire les journaux pendant deux semaines, et voyez si vous ne vous sentez pas mieux. Vous imaginez si toute cette agitation était résolue ?

Ce qui est vraiment malheureux dans tout cela, c’est que bien sûr, même le marchand de chaos a besoin de nous, non pas pour s’enrichir, mais simplement pour vivre, lui-même, en tant qu’être.

Ainsi, la véritable histoire de la Scientologie est-elle une histoire simple. Et trop vraie pour que l’on s’en détourne.

Ron Hubbard

La véritable histoire de la Scientologie est un texte écrit par le fondateur même de la religion de Scientologie, Ron Hubbard.