Les abus et incompétences de la psychiatrie

Les abus et incompétences de la psychiatrie

 

Le combat des scientologues contre les abus et incompétences de la psychiatrie de plus en plus entendu par la justice.

Depuis de nombreuses années, la Commission des citoyens pour les droits de l’homme, cette association créée par l’Eglise de Scientologie pour lutter contre les atteintes aux droits de l’homme dans le domaine de la psychiatrie, dénonce l’incompétence des psychiatres qui laissent certains de leurs patients criminels sortir de l’hôpital et commettre des crimes déments qui sont bien souvent prévisibles.

les responsabilités de la psychiatrieTrès récemment, la justice française a condamné pour homicide involontaire une psychiatre dont le patient, notoirement dangereux, avait dans un délire meurtrier tué un homme à coups de haches. C’est grâce au combat acharné d’un fils de la victime, Michel Trabuc, que la psychiatre a pu être mise en examen et condamnée. Ce dernier n’a pas hésité à attaquer en justice toutes les personnes et les entités administratives qu’il pensait responsables de ce drame.

Il est un fait notoire, bien que souvent tenu caché de l’opinion publique : la plupart des crimes déments sont commis par des personnes suivies en psychiatrie ou sous l’effet de traitements psychiatriques.

Très récemment, le tueur de l’école américaine du Connecticut qui a abattu 26 personnes dont 20 enfants en bas âge prenait un antipsychotique dont les effets secondaires reconnus sont l’agressivité, le délire ou encore la paranoïa. Les psychiatres jouent avec le feu en prescrivant à tour de bras des drogues psychiatriques sans savoir comment réagiront leurs patients.

En France, on se souvient du drame de Nanterre quand un homme avait tué 11 personnes lors d’un conseil municipal. Il était alors sous l’effet d’un antidépresseur bien connu tout comme ce médecin de Vendée qui avait tué ses quatre enfants, également sous l’effet d’un antidépresseur. Les exemples sont trop nombreux pour être tous cités.

La condamnation de la psychiatrie à 6 mois de prison avec sursis, condamnation dont elle a fait appel, constitue une avancée majeure dans le sens où des psychiatres seront amenés à rendre des comptes pour les actes commis par leurs patients sous suivi.

Tout le monde peut se rendre compte qu’il y a un gros problème avec la psychiatrie : ce gros problème, ce sont ses résultats, que ce soit pour repérer les criminels ou pour simplement venir en aide aux personnes en situation de trouble. Les psychiatres affirment que ce n’est jamais de leur faute. La justice a commencé à penser le contraire et en a décidé autrement.

Les scientologues demandent depuis plus de 35 ans que les membres de cette profession soit enfin jugée pour ce qu’ils font vraiment et non pour ce qu’ils disent. Ils sont fort heureusement de plus en plus entendus.