Lettre d’information & de propositions de l’Eglise de Scientologie

L’Église de Scientologie invitée par la communauté haïtienne à fêter avec elle l’abolition de l’esclavage

Le 21 août dernier, à Aulnay sous Bois, la communauté haïtienne organisait sa fête annuelle en mémoire de la cérémonie du Bois Caïman qui fut en 1791 l’acte fondateur de la guerre d’indépendance des Haïtiens et le premier grand soulèvement collectif contre l’esclavage. Les Haïtiens de France avaient invité à cette occasion des représentants de l’Église de Scientologie pour les remercier de l’aide apportée au peuple haïtien après le tremblement de terre de janvier dernier. En effet, 400 scientologues s’étaient rendus à Haïti avec des médecins et du matériel médical pour venir au secours de la population meurtrie. Les scientologues sont du reste encore présents à Haïti où ils participent à la reconstruction des écoles et des orphelinats du pays.

En janvier dernier, un Haïtien de France avait rejoint l’équipe française des Ministres Volontaires, ce groupe de scientologues bénévoles, pour partir à Haïti. Des liens ont donc été créés entre les scientologues français et la communauté haïtienne. Cette journée de fête a été l’occasion de renforcer les liens entre communautés. De nouveaux projets pour aider Haïti ont vu le jour, dans un esprit de fraternité et d’efficacité.

Délinquance : plaidoyer pour une politique de prévention efficace

Aujourd’hui, tout le monde s’accorde pour convenir qu’en matière de lutte contre la délinquance, la prévention est préférable à la répression. Néanmoins, aucune solution efficace n’émerge sur la scène politique et sociale pour prévenir efficacement la délinquance. Faut-il pour autant y renoncer ?
Le but de la Scientologie est un monde sans folie, sans guerre et également sans criminels. Le problème de la délinquance n’a donc pas été laissé de côté par le fondateur de la religion de Scientologie, Ron Hubbard. Ce dernier a développé un certain nombre d’outils pour lutter contre la violence et la criminalité, établissant un lien entre la santé d’esprit et la criminalité.

La première solution consiste en une large distribution d’un code moral laïque intitulé Le Chemin du Bonheur. Ce code moral n’est pas basé sur l’arbitraire et l’autorité de règles imposées mais sur l’idée que le bonheur peut être atteint en menant une vie éthique. Quelle est l’efficacité de cet outil ?

En Colombie, un programme de distribution aux 800 000 membres de l’armée et de la police ainsi qu’à des millions d’habitants a permis de faire baisser la criminalité de 50%.

En Afrique du Sud, il a été largement distribué avant la coupe du monde et l’on sait que l’effet a été très positif.

Qu’attend-on pour faire de même en France ? Il faut simplement briser des tabous et accepter de s’ouvrir à des solutions humanistes nouvelles.

L’expansion continue pour la Scientologie

Pour répondre à la forte expansion de la Scientologie dans le monde, de nouvelles églises de Scientologie dites « idéales » ont ouvert leurs portes à peu près simultanément à Los Angeles, Pasadena, Seattle et Mexico.

Ces nouvelles Églises ont ouvert à la fois sur des vieilles terres de Scientologie comme la Californie mais aussi dans des pays où l’ouverture à la Scientologie est plus récente mais très spectaculaire, comme le Mexique.
Les prochaines églises qui ouvriront leur portes sont celles de Tel Aviv cet automne, suivies de Melbourne et de Moscou.
On peut donc véritablement parler de présence mondiale accrue.
À Los Angeles, la nouvelle Église est située L. Ron Hubbard Way, une rue qui porte le nom du fondateur de la Scientologie.
C’est à Los Angeles que la Première Église de Scientologie a été constituée en 1954 et c’est là que se trouve la plus grande communauté de scientologues au monde, influents dans les différents secteurs de la société dont l’industrie du cinéma à Hollywood.
Pasadena est également une ville de l’agglomération de Los Angeles à forte concentration de scientologues alors que Seattle est une ville historique pour les scientologues.

`C’est là que Ron Hubbard, le fondateur a passé une partie de son enfance avant d’embarquer sur un bateau en partance vers l’Asie où il entreprit ses premières recherches sur les causes de l’aberration humaine.
Enfin, l’Église de Mexico a pour vocation de servir de modèle pour toutes les églises d’Amérique latine.
Rappelons que depuis le début de l’année 2010, de nouvelles Églises ont ouvert leurs portes à Bruxelles, Québec et Las Vegas.

Les Scientologues plus actifs que jamais contre les abus psychiatriques

Cet été, les scientologues ont été particulièrement actifs pour dénoncer les abus de la psychiatrie et en particulier pour demander que le projet de loi sur les internements psychiatriques forcés, qui sera sans doute discuté à l’Assemblée cet automne, soit abandonné ou profondément remanié.

À Paris, la Commission des citoyens pour les droits de l’homme, une association créée en 1969 par l’Église de Scientologie pour lutter contre les abus psychiatriques, a décidé de ne rien cacher des horreurs de la psychiatrie.

Une grande exposition présentant l’histoire de la psychiatrie et montrant ses violations des droits de l’homme a donc été organisée pendant 10 jours.
Près de 3000 personnes l’ont visitée et en sont ressorties très émues et bien décidées à ne pas laisser la psychiatrie prendre une place trop important dans notre société. Cette exposition a attiré de nombreux spécialistes des droits de l’homme, inquiets du projet de loi gouvernemental facilitant les internements forcés et instaurant un traitement psychiatrique obligatoire en dehors des hôpitaux.

Les scientologues n’en sont pas restés là.
Ils ont continué leurs actions et ont entrepris un périple à vélo entre Paris et Bruxelles, périple au cours duquel ils se sont arrêtés pour manifester devant une dizaine d’hôpitaux psychiatriques.

Le but était d’attirer l’attention sur les abus psychiatriques et sur le projet de loi gouvernemental. Ce but a été largement atteint puisqu’une vingtaine d’articles de presse et de multiples interviews radios ont permis de relayer le message. Les courageux cyclistes, tous membres de la CCDH, ont fini leur périple devant la Commission européenne à Bruxelles pour alerter sur la situation des internements psychiatriques en France.
Les scientologues sont donc bien à l’avant-garde du combat pour les droits de l’homme en psychiatrie, un combat plus que jamais nécessaire si l’on veut protéger les libertés de tous.

Pour tout renseignement, contacter le bureau des relations publiques de l’Eglise de Scientologie au 01 44 74 61 68

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