Protéger la prochaine génération contre la violence domestique

Protéger la prochaine génération contre la violence domestique

Claudia Fernandes, dont la fille de six ans a été victime de violence verbale à l’école aux Etats-Unis où elle vivait, a commencé à s’intéresser à l’éducation aux droits de l’homme.

En 2016, Claudia Fernandes a commencé à traiter ce problème avec l’association Des jeunes pour les droits de l’homme qu’elle a découverte sur Internet. Elle a découvert que le fait d’initier les étudiants aux 30 droits consacrés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) et de s’assurer qu’ils les comprennent peut changer leurs attitudes fondamentales sur la façon dont ils traitent les autres.

Peu de temps après, quand Fernandes est retournée avec sa famille au Portugal, elle a continué l’éducation aux droits de l’homme, considérant cela comme un moyen de protéger les victimes de la violence domestique. Elle a créé une équipe de bénévoles et la ville de Porto lui a donné le feu vert pour éduquer les enseignants qui à leur tour mettront en œuvre le programme afin que tous les enfants de Porto connaissent leurs droits fondamentaux.

Plus de 450 femmes ont été victimes de violences domestiques au Portugal au cours des 12 dernières années. En 2016, le pays a enregistré 22 773 cas de violences domestiques, soit l’équivalent de 14 incidents par jour. Et un rapport publié en 2014 par l’Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes a révélé que 24% des femmes au Portugal avaient subi des violences.

Après trois années d’augmentation de la maltraitance, le gouvernement a publié en 2015 une législation sévère pour protéger les femmes battues. Mais sans aborder les valeurs culturelles sous-jacentes, ces crimes risquent de continuer.

Les scientologues soutiennent le programme de l’association Des jeunes pour les droits de l’Homme, la plus grande campagne d’éducation aux droits du monde ouverte à 195 pays dans 27 langues, avec 2700 militants, fonctionnaires, groupes et associations.

Leur soutien à l’initiative est inspiré par la conviction de l’humaniste, L. Ron Hubbard, selon laquelle « il est vital que tous les hommes de pensée exhortent leurs gouvernements à mener des réformes radicales dans le domaine des droits de l’homme ».

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