La psychologie et la psychiatrie, les sciences de la salive

La psychologie et la psychiatrie, les sciences de la salive

de L. Ron Hubbard

Juin 1969

La psychologie et la psychiatrie, les sciences de la salive

Une recherche récente a révélé que la psychologie et la psychiatrie, sciences de la domination qui font l’objet de beaucoup de publicité ainsi que d’un financement massif par le gouvernement, sont fondées sur une seule découverte

Karl Friedrich Wilhelm LUDWIG (1816 – 1895), responsable du département de physiologie de l’université de Leipzig (Allemagne) fut le premier à démontrer que les glandes digestives humaines pouvaient être sous l’influence d’un nerf sécréteur. Ce fut une sorte de percée : la découverte que des nerfs contrôlaient des réactions physiques.

Un autre Allemand, Wilhelm Max WUNDT (1832-1920), qui enseignait dans la même université (Leipzig, en Allemagne) en 1879, déclara sur-le-champ que tous les hommes n’étaient que des animaux puisque des nerfs contrôlaient la salivation, et il devint le père de la psychologie. Ce fut le premier institut de psychologie.

Ivan Petrovitch PAVLOV (1849 -1936), un vétérinaire, arriva aussitôt de Russie, étudia ceci et s’en retourna chez lui pour montrer que les chiens salivent lorsque vous faites sonner une clochette et qu’ils cessent de le faire lorsque vous leur donnez un choc électrique.

Pavlov prit part à la violente révolution universitaire du XIXe siècle en Russie et après la révolution de 1917 — celle qui assassina le tsar — se retrouva directeur des nouveaux laboratoires expérimentaux communistes.

En 1928, alors que Staline faisait écrire par Pavlov un livre de 400 pages sur la manière de contrôler les êtres humains par le biais des nerfs, celui-ci fut reconnu comme membre par la Société royale britannique.

John Dewey (1859 – 1952), le « grand » éducateur des États-Unis qui révolutionna l’enseignement en Amérique (et amena la révolution dans ses universités) était un partisan des théories de Wundt. Du temps de Dewey, des psychologues des États-Unis furent envoyés à Leipzig pour étudier les cours de Wundt.

Pavlov et le « grand » éducateur des États-Unis Dewey eurent les mêmes professeurs.

L’intégralité du raisonnement à la base de la psychologie et de la psychiatrie remonte à Ludwig et à Wundt

Il repose entièrement sur les données suivantes :

Un nerf, s’il est sectionné, déchiré ou qu’il reçoive un choc, peut provoquer une réaction du corps physique.

De la même façon que le nerf peut contrôler la salivation, les nerfs doivent contrôler l’envie de nourriture et l’envie de sexe.

Par conséquent, les hommes sont des animaux. On peut les dresser comme des moutons ou des ours de cirque. C ‘est tout ce que le psychiatre essaie de faire au moyen du choc électrique et de la chirurgie : sectionner le nerf « correct ».

Il n’a JAMAIS été prouvé nulle part ni par personne qu’il existe un nerf correct.

La promesse de pouvoir exercer un contrôle absolu sur les hommes fascina les politiciens d’Allemagne, de Russie, des États-Unis et d’Angleterre.

Malheureusement, la promesse fondamentale de la psychologie et de la psychiatrie est une vérité limitée et partielle. Et telle qu’elle a été appliquée, elle a accumulé les exploits suivants :

La Russie tsariste : a péri par les activités universitaires des étudiants en révolte.

L’Allemagne du Kaiser : disparue en 1918.

L’Allemagne de Hitler : disparue en 1945.

L’Autriche, la Tchécoslovaquie et la Pologne absorbées par la Russie.

Le peuple russe réduit à l’esclavage.

Les universités des États-Unis en proie à des émeutes incontrôlées.

Les universités du Royaume-Uni en train de se déchaîner.

La domination absolue exercée par ces « psychologues », éducateurs et psychiatres endoctrinés à Leipzig est très marquée depuis la deuxième moitié du XIXe siècle.

Les dogmes de cette école sont :

1. Dieu n’existe pas.
2. L’homme est un animal.
3. L’homme peut faire l’objet d’un contrôle absolu.
4. L’homme ne peut pas être changé.
5. L’homme n’a pas de volonté, il n’est qu’un mécanisme d’excitation-réflexe et, par conséquent, il est totalement irresponsable de ses actes.

Ces types-là, Wundt, Pavlov, Dewey, tout le lot, retirèrent les universités à l’Église sous l’égide de laquelle elles avaient prospéré durant plus d’un millier d’années, enseignèrent à l’homme qu’il était un animal sauvage dépourvu d’âme et nous présentèrent sur un plateau flamboyant ce que risiblement on appelle « la civilisation moderne ».

Dans leur sillage, la culture tombe dans l’oubli et les nations vont à la ruine.

Le contrôle de l’homme ?

Regardez les émeutes.

N’est-il pas temps que quelqu’un flanque ces arrogants simulateurs à la porte et laisse faire quelqu’un de capable ?

La Dianétique et la Scientologie ont été combattues amèrement par ces prêtres de la révolution et du déclin. Pourtant, la Dianétique et la Scientologie peuvent produire, en quelques heures, des étudiants qui peuvent étudier, des hommes qui peuvent penser, et des êtres humains bien portants et heureux. Il est temps d’enterrer la vieille école avec ses morts, et de laisser faire ceux qui peuvent tenter d’apporter un peu d’ordre après ce siècle de mensonges.

 

La psychologie et la psychiatrie, les sciences de la salive
« L’intégralité du raisonnement à la base de la psychologie et de la psychiatrie remonte à Ludwig et à Wundt. Il repose entièrement sur les données suivantes : Un nerf, s’il est sectionné, déchiré ou qu’il reçoive un choc, peut provoquer une réaction du corps physique. De la même façon que le nerf peut contrôler la salivation, les nerfs doivent contrôler l’envie de nourriture et l’envie de sexe. Par conséquent, les hommes sont des animaux. »