La Scientologie est une religion

La Scientologie est une religion

Le rêve d’une paix sur Terre et du salut de l’Homme

La Scientologie est une religion relativement jeune puisqu’elle a été fondée au début des années 50 par Ron Hubbard. Elle offre à l’humanité l’espoir de résoudre ses problèmes sociaux les plus préoccupants. Elle est capable de créer une renaissance authentique de l’esprit au cours du siècle à venir.

La Scientologie partage avec toutes les grandes religions le rêve d’une paix sur Terre et du salut de l’Homme. Ce qui est nouveau, c’est qu’elle trace un chemin précis pour amener une amélioration spirituelle au présent et une voie pour l’accomplir avec une certitude absolue.

Certes, il s’agit d’une nouvelle religion, mais toutes les églises officielles actuelles le furent un jour. Seule l’absence de connaissance à l’égard de ce mouvement vital qu’est la Scientologie a conduit certains à s’interroger sur sa nature religieuse. Pour ses membres, et aux yeux des experts qui l’ont étudiée, la réponse est sans nul doute affirmative.

La Scientologie revêt une grande importance pour notre culture contemporaine. À ce titre, les plus grands experts en religions et en sociologie du monde l’ont étudiée. Ceux-ci proviennent d’institutions aussi diverses et prestigieuses que l’Université d’Oxford et de celles de Rome, Paris, du Cap, Stockholm, Buenos Aires, Helsinki, Tokyo, etc.

Ces spécialistes ont testé la Scientologie comme ils le font pour toute religion émergente : selon la norme. Beaucoup d’entre eux ont même publié des rapports de leurs conclusions, lesquels offrent une vue unique de la Scientologie.

Naturellement, chacun de ces experts s’est fondé sur son héritage culturel et sur sa propre méthode d’analyse. Mais il est intéressant de noter que tous ont abordé la classification de la religion selon des critères similaires. Ils ont recherché trois caractéristiques fondamentales :
1. Une croyance en une certaine Réalité suprême, ou Vérité éternelle qui transcende le quotidien du monde matérialiste ;
2. Des pratiques religieuses dirigées vers la compréhension, l’atteinte et la communion de cette Réalité suprême ;
3. Une communauté de croyants qui se rassemblent pour atteindre cette Réalité suprême.

Sur la base de ces critères, chaque expert ayant examiné la Scientologie a conclu qu’elle possédait les éléments requis d’une religion. Chacun a constaté que la Scientologie satisfait au premier élément. En effet, elle énonce une Réalité suprême, laquelle transcende le monde matériel.

Les spécialistes ont relevé la présence du deuxième élément à la fois dans le rituel des cérémonies de la Scientologie communes à toutes les religions (baptême, mariage et service funéraire, etc.), mais de manière prédominante dans les pratiques de l’audition et de l’entraînement de Scientologie. C’est par ses pratiques que les scientologues augmentent leur conscience spirituelle et atteignent, en fin de compte, une compréhension de leur relation avec la Réalité suprême.

En ce qui concerne le troisième élément, les experts en religion ont remarqué l’existence d’une communauté religieuse. À travers elle, les scientologues poursuivent leur quête de la Réalité suprême. Cette communauté se rencontre dans les Églises spécifiques, conçues autour d’une croyance commune, et partagent les buts de la Scientologie qui les poussent à se rassembler.

La croyance qui forme la clé de voûte de la théologie de la Scientologie est que l’homme est un être spirituel immortel qui a vécu de très nombreuses vies et qui possède le potentiel d’une survie infinie. Les scientologues appellent l’être spirituel le « thétan ». Ce mot vient de la lettre grecque thêta, Θ, le symbole traditionnel de la pensée ou de la vie.

Ron Hubbard déclara : « Nulle culture dans l’histoire du monde, sauf celles entièrement dépravées et agonisantes, n’a manqué d’affirmer l’existence d’un Être suprême. C’est une observation empirique que les hommes sans une foi forte et durable en un Être suprême sont moins capables, moins éthiques et moins valables envers eux-mêmes et la société (…) Un homme sans une foi constante est, d’après la seule observation, plus une chose qu’un homme. »

D’autre part, plusieurs centaines de décisions des autorités judiciaires en Europe et dans le monde reconnaissent la nature religieuse de la Scientologie.

Les différentes autorités judiciaires, qui ont mené une enquête sur l’Église de Scientologie, démontrent de manière concluante que la Scientologie est une religion authentique, que ses croyances et pratiques sont loyales.

Lire les reconnaissances religieuses en Europe

Reconnaissance de l’Église de Scientologie aux Etats-Unis

L’Église de Scientologie fut fondée aux USA en 1954, pays où les tribunaux ont clairement affirmé le caractère authentique de la Scientologie en qualité de religion. En février 1969, la Cour d’appel de Washington, D.C. a jugé que la Scientologie est une religion authentique. Le département d’État américain a reconnu l’Église de Scientologie en tant qu’organisation religieuse authentique le 30 décembre 1974. S’appuyant sur cette reconnaissance, les services américains d’immigration et de naturalisation des USA ont reconnu la Scientologie en tant que religion authentique quelques années plus tard.

Environ une douzaine d’églises de Scientologie constituées aux États-Unis et situées dans différentes villes de ce pays ont bénéficié de l’exemption fiscale de la part de l’IRS (services fiscaux américains) dans le courant des années 1970, et l’IRS a reconnu dans le cadre d’une procédure devant le Tribunal des Impôts en 1980 que la Scientologie est une religion. Au début des années 1990, l’IRS, en collaboration et avec le plein consentement de l’Église (laquelle, comme l’église Catholique, est organisé hiérarchiquement) a débuté un contrôle fiscal qui a duré deux ans, en vue de déterminer si toutes les organisations de Scientologie, y compris l’Église mère de Scientologie (Church of Scientology International, située en Californie), méritaient une complète exemption fiscale. Le contrôle, d’une ampleur et d’une minutie sans précédents, a été effectué sous la supervision des plus hauts responsables nationaux de l’IRS à Washington D.C., en charge des organisations exemptées d’impôts. Ce contrôle fiscal s’est terminé le 01 octobre 1993 par la publication d’une série de décisions accordant une exemption fiscale, en tant qu’organisations religieuses ou caritatives, à l’Église de Scientologie Internationale et à 150 églises, missions et organisations caritatives affiliées – toutes ces organisations étant liées à la Scientologie aux États-Unis – et également à beaucoup d’autres entités qui ne sont pas américaines.

Tout nouveau mouvement philosophique ou religieux fait l’objet d’attaques violentes

En cette époque de conformisme, beaucoup ont du mal à comprendre l’adhésion de certaines personnes à des idées et des façons d’être différentes de celles que suivent leurs contemporains.

D’autre part, spécialement en France, cette suspicion a conduit certains à qualifier arbitrairement les nouveaux mouvements philosophiques ou religieux, qui leur déplaisent, de « sectes ». Ce mot n’est alors qu’une étiquette péjorative collée sur ces mouvements, ce qui est dénoncé dans le rapport de l’ODI (Observatoire de la Déontologie de l’Information) nommé Les mots en liberté surveillée qui a été publié en septembre 2015.

Voici un extrait des pages 13 et 14 :

« Secte ou dérive sectaire

Au nom de la lutte -légitime- contre les dérives sectaires, les mots « secte » et « dérive sectaire » sont souvent employés à tort et à travers, de façon abusive, au mépris de la présomption d’innocence et sans que les accusés puissent se défendre. C’est un sujet sensible, complexe, traité généralement de façon passionnelle et réductrice. Sans rappeler qu’une Église respectable est souvent une secte qui a réussi, sans défendre des dérives évidentes et prouvées, une analyse plus détaillée du phénomène amène à comprendre comment de nouvelles pensées, spiritualités, ou des méthodes naturelles de santé sont parfois diffamées au seul motif de sortir des canons habituels ou de la bien-pensance dominante. »