Une sans-abri a retrouvé l’espoir

Une sans-abri a retrouvé l’espoir

Sensibilisation à un problème qui touche des milliers de familles de la région de Tampa Bay.

Katina Lowrey a partagé son expérience personnelle lors du séminaire ‘De SDF à espoir’, organisé par l’association Tous Unis pour les Droits de l’Homme de Floride, à Clearwater. Ses parents l’ont abandonnée à 14 ans dans la rue, avec sa petite sœur. Elle a changé de vie et, à 18 ans, elle avait sa propre maison.

Selon le recensement de 2018 des sans-abris du comté de Tampa-Hillsborough, près de 1 800 hommes, femmes et enfants dorment dans la rue, derrière des immeubles, dans des campements, des voitures, des refuges d’urgence et des logements de transition. Le département du Logement et du Développement urbain des États-Unis rapporte qu’au cours de l’année fiscale 2015-2016, près de 2 000 personnes étaient sans abri à Pinellas, dont beaucoup d’enfants.

Pour répondre à cela, Lowrey a fondé l’association H.O.P.E.F.U.L. Inc. à Tampa. Ses services comprennent repas chauds, réinstallation, vêtements et chaussures, ressources en matière d’emploi et de logement, le transport. Un ‘ambassadeur’ sert de guide pour accompagner personnellement les gens. H.O.P.E.F.U.L. bénéficie de fonds privés, de dons et de mécénat.

« Notre mission est de susciter l’espoir et de trouver des solutions aux problèmes auxquels font face les personnes qui sont sans abri ou qui risquent de le devenir », a déclaré Mme Lowrey.

Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant

Elle utilise le matériel pédagogique de Tous Unis pour les Droits de l’Homme, car être SDF est une violation de l’article 25 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations Unies qui stipule : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux et les services sociaux nécessaires, ainsi que le droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d’invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance dans des circonstances indépendantes de sa volonté. »

Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit au logement, Leilani Farha, décrit le sans-abrisme dans le monde d’aujourd’hui comme une catastrophe humaine. « Le droit au logement n’est pas seulement un cri de ralliement », a-t-elle écrit dans un article sur le site Web du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH). « Ce droit, comme les autres droits de l’homme en général, propose des normes concrètes qui peuvent être mises en œuvre et dont on peut mesurer les progrès. Les résultats peuvent nous faire passer de charité à justice sociale. »

Les scientologues soutiennent l’association Tous Unis pour les Droits de l’Homme et son programme pour les jeunes de l’association internationale Des Jeune pour les Droits de l’Homme.

L. Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie et de l’action humanitaire, a écrit : « Les droits de l’homme doivent devenir un fait et non un rêve idéaliste », et c’est ainsi que l’Église met gratuitement ce matériel éducatif sur les droits à la disposition d’éducateurs, mentors, collectivités et individus qui cherchent à rendre ce monde meilleur.

United for Human Rights est devenu un mouvement véritablement populaire – la plus grande campagne non gouvernementale d’éducation aux droits de l’Homme au monde, qui s’est étendue dans 195 pays en 27 langues et a été adoptée par des milliers de militants, de responsables, de groupes et d’organisations.